Par définition, l’agriculture est un processus pris en charge par l’homme. Dans celui-ci, il est question d’aménager un territoire et d’y contrôler le cycle biologique de diverses espèces domestiques dans le but d’assurer la production alimentaire. C’est donc un processus nécessitant un savoir-faire professionnel concernant la culture du sol, mais également une grande patience. D’ailleurs, il y a plusieurs travaux à effectuer quand il est question d’agriculture, même si la tâche n’est généralement pas aisée. Surtout que du point de vue économique, l’agriculture est un excellent moyen d’obtenir un bon revenu financier. Par contre, les méthodes d’agriculture en vogue dans les années 90 sont vétustes et laissent peu à peu la place à de nouvelles pratiques, bien plus modernes. Zoom sur 3 d’entre elles, leurs enjeux et surtout leur fonctionnement.
Méthode n°1 : l’agroforesterie
L’agroforesterie est une pratique agricole conventionnelle, mais remise au goût du jour. En effet, elle existe depuis des années, mais ne cesse de se développer au fil des avancées technologiques.
Son fonctionnement est élémentaire, il suffit de planter des arbres sur des terres cultivées afin que celles-ci deviennent des refuges pour les petits animaux et les insectes (frelons asiatiques, etc.). De plus, cette méthode agricole permet d’assurer une bonne augmentation des produits à commercialiser. Ainsi, les arbres qui seront plantés deviennent un investissement sur une longue durée.
Méthode n°2 : l’agriculture durable
Avec l’arrivée de la pensée écologique, l’agriculture durable a également vu le jour et contrairement à l’agriculture classique, celle-ci reprend les conventions du développement durable : la production dans le respect de l’environnement.
Les avantages
Ce type de méthode d’agriculture, lutte constamment contre la diffusion de gaz à effet de serre avec l’utilisation de matériel agricole respectueux de l’environnement. D’ailleurs, si vous cherchez à vous fournir, n’hésitez pas à prendre contact avec les magasins ROSTAIND.
Par ailleurs, pour arriver à son but, l’agriculture durable limite l’utilisation excessive des ressources naturelles dans le processus de production alimentaire, car un usage abusif de ces ressources ne fera qu’accélérer le processus de dégradation du sol. Cependant, elle priorise l’utilisation des éléments naturels comme la pluie.
Bon à savoir :
Le concept d’agriculture durable intègre aussi l’abolition des pesticides chimiques pouvant nuire à la santé des agriculteurs en même temps que les consommateurs.
Méthode n°3 : la micro-agriculture bio intensive
La micro-agriculture bio intensive est l’une des nouvelles méthodes modernes ayant actuellement le vent en poupe.
Celle-ci détient de nombreux avantages dont l’enrichissement du sol en humus (lui-même formé par une grande quantité de carbone atmosphérique). Toutefois, elle assure aussi la survie des êtres vivants comme :
- les vers de terre ;
- les bactéries ;
- les champignons.
Plus économique que les précédentes pratiques, la micro-agriculture bio intensive ne nécessite aucun outil/matériel agricole consommateur ou cher. Or, cela ne veut pas dire pour autant qu’elle est strictement réservée aux végétaliens, mais elle contribue fortement à la diversification des produits sur le marché dans ce secteur.
Enfin, très efficace, cette méthode permet de réduire graduellement l’impact écologique de l’activité agricole. C’est-à-dire que le fait de ne prendre qu’une petite surface cultivable et de ne faire appel à aucune industrie de transformation réduira considérablement l’émission de gaz à effet de serre et la pollution. Ce qui fait que par phénomène de cause à effet, l’écosystème s’épanouira librement et sans aucune entrave.
NB :
La variation des semences préserve diverses espèces de plantes et ce phénomène s’appelle l’autoproduction. Actuellement, certains pays obligent les agriculteurs à diminuer leurs champs de culture en sachant que la surface moyenne disponible est d’environ 2 500 m² pour une personne.